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Qui décide d’être malade ?
Les choix sont faits par le décideur dans l’esprit hors du temps et de l’espace et non par la personne qui semble vivre dans le monde comme un corps. Ainsi, Jésus nous demande, « Qui est ce toi qui vit en ce monde ? »(T.4.II.11:8, p.63). Cette compréhension est facilitée en retournant sur le plan de l'ego avec lequel nous nous sommes identifié dans nos esprits. La pièce principale de sa stratégie pour nous garder attaché à lui est de nous rendre sans esprit et ainsi s’assurer que nous ne retrouverons jamais la conscience de notre identité comme étant un esprit décideur.
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Qu’est-ce qui s’ensuit ?
Cette stratégie résulte finalement dans notre expérience de nous-même comme étant des corps sujets à toutes sortes de lois de notre fabrication; biologie, physique, chimique, nutrition, etc. le corps ne faisant que transmettre les vœux de l’esprit et n’a aucune vie propre. Ainsi, ce n’est pas toi comme personne individuelle dans le monde qui choisit d’être persécutée; c’est l’esprit qui remplit sa promesse de fidélité à l'ego qui a choisi de la sorte. L’esprit décide de nier son identité comme esprit et en substitut une autre dans sa quête de demeurer séparé de Dieu, mais de ne pas en être tenu responsable. Il fait donc un monde contenant certaines lois et ensuite se projette dans ce monde comme corps qui est né et éventuellement meurt, dans le processus d’oublier volontairement l’avoir fabriqué. Le corps ne vieillit pas à cause des lois du vieillissement; bien que dans le monde cela semble vrai. L’esprit fait tourner tout le spectacle en vue d’atteindre ses objectifs. Une partie essentielle du plan de l’esprit est d’être un corps vulnérable qui réagit favorablement ou non aux lois extérieures à lui. C’est ce que Jésus nous aide à comprendre. C’est l’esprit qui a besoin de percevoir une victimisation externe pour éviter de se voir comme le bourreau de Dieu, et ainsi il organise toute l’affaire. C’est tout arrangé!
Mais comme nous pouvons tous le constater, c’est tout à fait convaincant. Jésus fait remarquer que «la résistance est énorme à reconnaître cela, parce que l’existence du monde tel que tu le perçois dépend de ce que corps soit le décideur » M.5.II.1-7 (p.19). (16) Dans « La maladie est une défense contre la vérité » (leçon 136), Jésus explique que ces décisions sont prises consciemment, mais pour que le plan fonctionne, l’esprit doit oublier immédiatement l’avoir fait. La confusion du corps/cerveau avec l’esprit est l’origine de plusieurs des problèmes que les étudiants ont avec « Un cours en miracles ». Et c’est une erreur naturelle à faire, parce que nous n’avons aucunement conscience de nous-même comme étant un esprit (un choix fait par notre propre esprit). C’est pourquoi nous avons besoin d’un enseignant tel que Jésus qui se situe en dehors du rêve pour nous le rappeler.
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Pourquoi désirons-nous tant souffrir ?
Ce désir pour la plupart de nous peut être inconscient, mais nous voulons tous sembler souffrir comme corps pour prouver que les pensées de culpabilité et d’attaque résident n’importe où sauf dans notre propre esprit. Si votre corps peut causer au mien de la souffrance, directement ou indirectement, manifestement la culpabilité et la responsabilité pour ma douleur vous appartiennent et ne sont pas miennes. L’ego proclame très fort que je suis la victime et vous le bourreau. Nous ne voulons pas nous débarrasser de la culpabilité, car elle proclame que la séparation et l’attaque envers Dieu sont réelles et c’est ce que nous voulons.(T.13.III.2:4,5), mais pour la voir chez quelqu'un d’autre, nous devons souffrir par ses mains.(T.26.X.3,4; T.27.I.3,4) et non simplement croire n’être que des aspects d’un seul esprit plutôt que d’être tous séparés, dans des corps individuels.
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La souffrance et la douleur semblent bien se situer dans le corps ?
La souffrance et la douleur, bien qu’elles semblent être vécues dans le corps, sont seulement expérimentées dans l’esprit. (T.19.IV.C.5:2,3,4,5; T.28.VI.2:1,2,3,4). Cela fait partie de la ruse de l'ego pour nous garder sans esprit et nous convaincre que ce sont nos corps qui souffrent. C’est plutôt l’esprit qui se croit limité qui souffre et non le corps (T.25.in.3:1,2) qui n’est que le symbole de l'ego pour la limitation. (T.15.IX.2:3,4; T.26.VII.8:7,8,9,10; T.28.VI.3:10). Notre attraction pour la culpabilité est responsable de notre décision de croire avoir des difficultés et souffrir dans le monde afin de ne jamais regarder d’où vient réellement la souffrance, dans l’esprit, où nous pourrions agir à son sujet (leçon 76.5). Nous nous sommes dupé en croyant avoir des difficultés dans le monde afin de ne pas avoir à regarder notre attraction à la culpabilité et à la souffrance – les seules offrandes de l'ego – dans notre esprit. Et donc, tout ce qui concerne l'ego, ses projections dans le monde de la forme, est illusoire jusqu’à ce que ne regardions ce que nous avons choisi pour lui donner de la réalité dans notre propre esprit, et nous continuerons de croire que le désespoir et la tristesse sont notre seul lot. Jésus sait que le seul vrai choix est pour la joie, mais nous refusons avec entêtement d’accepter sa parole et continuons à croire pouvoir choisir la culpabilité et la souffrance. Si nous sommes honnêtes en premier au sujet de la souffrance que nous vivons tous et sommes consentants à accepter la responsabilité complète pour notre propre souffrance (T.11.III.1:4), nous pourrons alors choisir différemment.(T.28.II.12). Et nous pouvons faire un choix différent en invitant un Enseignant différent pour regarder avec nous le choix stupide que nous avons fait, afin de reconnaître que nous n’avons plus besoin de continuer à souffrir.
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La guérison ne se situant pas au niveau du corps – on ne peut juger le contenu de l’esprit par la condition du corps.
Le pardon est la décision que l’esprit prend de regarder la culpabilité avec Jésus, apprenant qu’elle est basée sur de fausses croyances et par conséquent n’a pas à être projetée, mais simplement abandonnée. Quand l’esprit est guéri de sa croyance en la culpabilité, il saura que le corps n’est pas sa réalité, et maintenant la « santé » sera associée avec l’acceptation de la Correction, et non à tort par l’absence de maladie ; et le système immunitaire sera logé correctement dans l’esprit – qui est la résistance de l’esprit à toute croyance en la réalité de séparation et de limitation. Non plus identifié avec le corps, l’esprit guéri ne sera plus limité par lui.(T.18.VI.13), bien que le corps puisse continuer à paraître normal dans le sens de vieillissement et autres sortes de conditions. Un esprit libre d’ego pourrait alors choisir d’aider des esprits non guéris à apprendre que le corps n’est pas leur réalité en apparaissant dans un corps malade ou un qui est crucifié. Pensons à Ramakrishna ou Jésus par exemple : à la fin, leurs corps ne paraissaient pas très bien portants en termes du monde ; cependant il ne se trouvait aucune culpabilité dans leurs esprits. Ils ont fait le choix de nous enseigner à travers ces formes.
Il pourrait y avoir d’autres raisons, qui nous sont inconnues, pour choisir des limitations corporelles, mais l’esprit guéri n’ajouterait rien à l’interprétation de l'ego, qu’ils sont la punition pour notre état de pécheur. Ainsi, l’observation seule du corps ne peut nous dire si une condition spécifique représente une décision d’esprit juste ou faux. Strictement parlant, si une certaine condition est l’effet direct de la projection de l’esprit de sa culpabilité, alors cette condition changera quand l’esprit laissera aller la culpabilité. Mais avec la disparition de la culpabilité, quitte aussi l’identification de l’esprit avec le corps, alors que l’esprit réalise que son état de paix est complètement indépendant de la condition du corps. Ceci est capital, et une leçon très difficile à apprendre pour nous. Il est beaucoup plus aidant de se concentrer sur le système immunitaire de l’esprit : le pouvoir d’accepter la vérité que nous avons démentie, et nier que quoi que ce soit d’extérieur puisse nous donner la paix ou nous l’enlever. Cependant, Jésus nous rappelle encore que : « la résistance est énorme à reconnaître cela, parce que l’existence du monde tel que tu le perçois dépend de ce que corps soit le décideur » M.5.II.1-7 (p.19). Nous devons donc devenir patient avec nous-même en traitant ces enseignements et apprendre comment sourire gentiment à notre besoin de voir le corps devenir réel à notre conscience.
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Quelle façon doit-on procéder avec quelqu'un de malade ?
Si vous travaillez avec quelqu'un de malade, votre seule responsabilité est d’être conscient de vos perceptions et de regarder pour tout jugement que vous pouvez faire, et alors de les apporter à l’amour de Jésus qui est toujours présent dans votre esprit. Comme Jésus parle à propos d’être patient dans une section précédente au Manuel pour Enseignants : voilà la fonction des enseignants de Dieu : «… ne voir aucune volonté séparée de la leur, ni la leur séparée de Celle de Dieu. »(M.5.III.3:9, page 21). C’est toujours ce principe qui sert de guide pour toute relation – percevoir vos intérêts comme étant partagés et non séparés avec ceux de l’autre personne. Vous saurez alors simplement quoi faire ou ne pas faire. Que l’autre personne vienne de l’esprit faux ou juste sera sans rapport ; votre réponse sera toujours aimante. Aussi, vous ne pouvez pas juger le contenu de l’esprit d’un autre seulement par la condition de son corps (forme). Mais dans cet instant saint d’être au-delà d’intérêts séparés, l’amour coulera à travers vous dans une forme qui sera appropriée à cette situation. Vous éviterez ainsi l’erreur trop commune (souvent avec des résultats blessants) de penser que vous savez quels sont les meilleurs intérêts de l’autre ; étant respectueux du choix de cet esprit, vous n’aurez aucun besoin d’ego qui perturbera la communication de l’amour.
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Jésus guérissait-il simplement en voyant le « Christ » en l’autre ?
«Puisque seul l’esprit peut être malade, seul l’esprit peut être guéri. Seul l’esprit a besoin de guérison.» (P. in. 2,3). Par conséquent, personne, incluant Jésus, ne peut finalement guérir quelqu'un d'autre : « La guérison ne vient de personne d’autre. Tu dois accepter d’être guidé de l’intérieur »(T.8.IV.4:5,6). De même, n’importe qui dont l’esprit est guéri, incluant Jésus, sert de rappel à quelqu'un qui se perçoit non guéri; que lui aussi peut faire le choix de guérison en acceptant la vérité à son sujet! Un «guérisseur guéri », un comme l’est Jésus, sert ainsi comme reflet de la vérité pour quiconque est vraiment consentant à être guéri. Ceci peut s’appliquer à «voir le Christ en l’autre ». Cela signifie regarder sans jugement, sans différence, et voir l’autre sans péché. C’est ce qui guérit l’esprit. Accepter la vérité à notre sujet, ce qui est la guérison, signifie en soi – s’accepter comme étant uni avec l’entière Filialité. En le faisant pour soi-même, nous le faisons pour tous.
C’est cela que le Cours veut dire lorsqu’il nous dit que nous ne sommes pas guéri seul – la vérité de qui nous sommes est la même vérité pour chacun, et inclus chacun. « C’est pourquoi peut importe à quelle partie et pour quelle partie de la Filialité la guérison est offerte. Chaque partie en bénéficie et en bénéficie également.(T.5.in.2:6,7). Nous ne sommes pas des individus séparés cherchant la guérison individuelle. Il n’existe pas d’individu à guérir. Par conséquent quand Jésus a accepté la Correction pour lui-même nous étions tous avec lui, et furent guéris avec lui. Seule notre acceptation est requise pour que nous puissions apporter cette guérison à notre conscience. Puisque toute maladie est séparation, toute guérison est union. « La guérison est l’effet d’esprits qui se joignent, comme la maladie vient d’esprits qui se séparent.(T.28.III.2:6). Nous sommes guéri quand nous choisissons de nous unir à Jésus en acceptant notre guérison. D’après le Cours, c’est ainsi que s’accomplit la guérison.
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De quelle façon peut-on déjouer l'ego ?
Tout symptôme de maladie ou de malaise dans le corps est une projection de la culpabilité dans l’esprit qui est la haine de soi que nous portons tous à l’intérieur de nous-même sur notre croyance d’avoir attaqué et détruit l’amour quand nous avons choisi la pensée de séparation. La culpabilité est la cause de la maladie:Leçon 140, par.4, p.278. Et chaque symptôme, sans regard à la forme, ne représente rien d’autre que la tentative de l'ego de vous persuader que vos problèmes sont dans le monde et dans votre corps et non dans votre esprit. Donc une fois que la ruse de l'ego est reconnue et la réelle association entre la culpabilité dans l’esprit et les effets sur le corps est reconnue, la majorité de votre mandat est complétée. L’étape suivante consiste simplement à retourner à votre Enseignant intérieur pour vous faire aider à défaire votre croyance en cette culpabilité. Votre part dans le processus de pardon est maintenant terminée. Les symptômes extérieurs peuvent ou non se modifier à ce moment, mais ils ne vous concerneront plus, en ce que vous avez identifié la vraie source de votre inconfort et de la douleur. Comme Jésus l’observe dans le manuel dans la section sur la guérison : « Qu’est-ce que la culpabilité et la maladie...(M.5.II.4:7,8,9,10,11, page 20)
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Pourquoi la maladie est-elle appelée «un gain secondaire» en psychologie ?
La condition rattachée à la maladie sert souvent la recherche de gains secondaires. C’est très aidant de le voir, car cela démasque un peu plus clairement les intentions véritables de l'ego afin de voir à quoi il se prépare. Il y a un gain – « quelque chose de valeur » à un niveau plus profond, dont cette section fait allusion. (M.5.II, 1). En commençant à entrer en contact avec cette valeur cachée, vous comprendrez pourquoi il y a tant de résistance à laisser aller la douleur. Mais l’aide que vous cherchez en dehors de vous-même par la médecine au niveau du corps peut être perçue comme un reflet de votre bonne volonté à reconnaître ne pas pouvoir résoudre le problème par vous-même, comme l'ego aimerait bien vous le faire croire. Et c’est cette croyance – que nous sommes et pouvons agir par nous-même – qui est vraiment la cause de la douleur. Parfois nous croyons faire appel à l’aide de Jésus pour calmer notre douleur, quand en fait nous nous servons de cette demande comme couverture pour notre propre peur de regarder ce que nous croyons enterrer dans nos esprits – l’horrible culpabilité et la douleur de notre séparation. La « valeur principale » mais inconsciente de la maladie ou d’une infirmité est qu’elle place la responsabilité pour notre douleur en dehors de l’esprit, dans le corps, comme étant victime de forces dans le monde au-delà de son contrôle. Et cette apparente relation nie que notre souffrance résulte d’un choix que nous avons fait dans nos esprits pour nous voir séparé de Dieu et de Son Amour.
En d’autres mots, la maladie du corps protège notre concept de soi comme individus, essayant de faire face à un monde qui existe indépendamment de nous. Et la résistance à reconnaître que toute notre souffrance vient de notre propre décision, que nous avons tout fabriqué cela, est «énorme » (M.5.II.1:7), car elle menace l’existence du monde et du soi que nous pensons être. Accepter la responsabilité au niveau de l’esprit pour toute notre expérience (T.21.II.2) n’est pas quelque chose que la plupart de nous peuvent faire tout simplement d’un coup, une fois que nous avons une compréhension intellectuelle de ce que nous faisons. Parce que la résistance est si grande, il semble être un processus pour la majorité d’entre nous– de pratiquer le pardon, relâchant les jugements que nous tenons contre nous-même et les autres – oui, cela semblera prendre beaucoup de temps.
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Nous devons être consentant à accepter l’antidote du Cours – le pardon – pour la culpabilité et la peur.
Le pardon ne signifie rien de plus que d’être consentants à accepter que vos jugements sur le monde et les autres puissent être faux. Vous n’avez pas à commencer en niant la réalité du monde, mais seulement à nier la validité de vos interprétations du monde. En regardant simplement avec honnêteté vos anciennes façons de penser sans vous en distancer, mais en reconnaissant les limitations douloureuses et les conséquences du jugement, vous commencerez de moins en moins à les valoriser comme outil mental. Aucune résistance active ou lutte contre les anciennes manières n’est nécessaire. Au fait, la résistance ne fait simplement que donner du pouvoir à l’ancienne façon de penser, car elle affirme sa réalité et doit être surmontée. Mais un doux regard lui permet simplement de se dissoudre dans le néant, qui est tout ce qu’elle est. Il ne se trouve rien dans le Cours qui vous conseillerait de ne pas chercher de l’aide en dehors de vous-même. Reconnaître nos limites et puis chercher l’aide que nous sommes capable d’accepter au niveau de la forme, va bien avec les enseignements du Cours.(T.2.IV.4, 5)
- Quelle est la plus belle chose que nous puissions faire pour les autres ?
C’est pardonner. C’est bien de se rappeler que notre seul objectif est la guérison de nos esprits. «Laisse-toi être guéri afin d’être à même de pardonner, en offrant le salut à ton frère et à toi… Ce que tu voudrais prouver à ton frère, tu le croiras. La puissance du témoignage vient de ta croyance. Et tout ce que tu dis, fais ou penses ne fait que témoigner de ce que tu lui enseignes … C’est ce témoignage qui peut parler avec une puissance plus grande qu’un millier de langues. Car là son pardon lui est prouvé». (T.27.II.4:7; 5:3, 4, 5, 8,9, p. 610).
Par conséquent, lors de toutes nos rencontres la seule chose qu’il nous est demandé de faire est de pratiquer le pardon qu’on nous enseigne, ce qui signifie bien vouloir surveiller nos esprits pour toutes pensées de jugement, et alors les remettre au Saint-Esprit pour être transformées. C’est seulement là que nos paroles refléteront Son message qui dit que la peur et la défensive de l’autre personne n’ont eu aucun effet et qu’il n’y a rien à pardonner.
Alors : « … Sois désireux de pardonner au Fils de Dieu ce qu’il n’a pas fait. (T.17.III.1:5). C’est la chose la plus compatissante que nous pouvons faire pour nous-même et les autres. C’est aussi la seule façon qu’il nous est demandé d’exprimer le pardon.
Donc nous finissons dans l’humble silence, mais avec l’espoir que si nous faisons ce que Jésus nous demande dans son cours, nous pourrons un jour faire l'expérience qui mettra un terme à toutes nos questions et à toutes nos appréhensions.Lire :(M.8, par.6. 1, 2, 3,4. p.27)
Ken WAPNICK
Extraits sur la maladie et la guérison de la troisième partie de l’atelier: « Ce que signifie être un enseignant de Dieu », tenu à l’Académie et centre de retraite de la Fondation pour « Un Cours en Miracles » Kenneth Wapnick, Ph.D. (FACIM)
Traduction libre par Stella Pilon – animé à la Résidence de La Noblesse le 6 mars 2011.
Merci à elle pour ce partage.