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  • : l'éveil spirituel sous l'angle non-duel d'un Cours en miracles. DATE DE CREATION: 01/01/07 ________________________ contact: christalain.1000@wanadoo.fr ________________________ Ecrivez-moi pour tout commentaire, suggestion, encouragement. merci.
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Un cours en miracles


Vous pouvez rejoindre la  famille  du "COURS EN MIRACLES" (et de la non-dualité authentique) en me contactant directement pour des rencontres "réelles dans l'illusion" , notamment dans la région "Ain, jura, Rhône, Haute-savoie". Consultez l'annuaire
A bientot !  
Christalain

 

"La connaisance qui illumine ne te rend pas seulement libre, elle te montre aussi clairement que tu es libre" . UCEM

 

Bienvenue sur Axialmedia, blog dédié à l'éveil  dans l'esprit non-duel d'Un Cours en miracle: radicale et sans concessions.  Pour tout commentaire général, toute question particulière, ou toute suggestion, toute critique ou tout encouragement, n'hésitez pas à m'écrire.   christalain.1000@orange.fr
     
       ***             
               
" Ne cherches pas à changer le monde, mais cherche à changer tes idées au sujet du monde" - Un Cours en miracles
 

 

Mise a jour le :


1er novembre 2016   

*  "Un Cours en miracles vu par S.Sobottka" 

 

30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 19:15

Les rêves de pardon sont des moyens de s'écarter de rêver d'un monde à l'extérieur de toi. Et menant finalement au-delà de tous les rêves, à la paix de la vie éternelle. À quel point es-tu désireux de pardonner à ton frère ? À quel point désires-tu la paix au lieu d'une lutte sans fin, de la misère et de la douleur? Ces questions sont les mêmes, sous des formes différentes. Le pardon est ta paix, car en lui réside la fin de la séparation et du rêve de danger et de destruction, de péché et de mort; de folie et de meurtre, de chagrin et de perte. Voilà le « sacrifice » que demande le salut; au lieu de quoi, avec joie, il t'offre la paix”.   UCM – ch.29

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 19:14

Il est un test, aussi sûr que Dieu, permettant de reconnaître si ce que tu as appris est vrai. Si tu es entièrement libre de toute espèce de peur, et si tous ceux qui te rencontrent ou qui pensent seulement à toi partagent ta paix parfaite, alors tu peux être sûr que tu as appris la leçon de Dieu, et non la tienne. À moins que tout cela soit vrai, il y a dans ton esprit de sombres leçons qui te blessent et te freinent, toi et tous ceux qui t'entourent. L'absence d'une paix parfaite ne signifie qu'une chose : Tu penses que ta volonté pour le Fils de Dieu n'est pas la Volonté du Père pour lui.

 

.../...Ceux qui toujours se souviennent qu'ils ne connaissent rien, et qui sont devenus désireux d'apprendre tout, l'apprendront. Mais chaque fois qu'ils se fient à eux-mêmes, ils n'apprendront pas. Ils ont détruit ce qui les motive à apprendre en pensant qu'ils connaissent déjà. Ne pense pas que tu comprennes quoi que ce soit avant d'avoir passé le test de la paix parfaite, car la paix et la compréhension vont de pair et jamais elles ne peuvent se trouver l'une sans l'autre. Chacune apporte l'autre avec elle, car la loi de Dieu est qu'elles ne soient pas séparées. Elles sont cause et effet, l'une de l'autre; ainsi où l'une est absente, l'autre ne peut pas être.

 

Ceux qui reconnaissent qu'ils ne peuvent pas connaître à moins que les effets de la compréhension ne soient avec eux, ceux-là seulement peuvent réellement apprendre. Pour cela, ce doit être la paix qu'ils veulent, et rien d'autre. Chaque fois que tu penses connaître, la paix te quittera, parce que tu as abandonné l'Enseignant de la paix. Chaque fois que tu te rends pleinement compte que tu ne connais pas, la paix reviendra, car tu L'auras invité à revenir en abandonnant l'ego en faveur de Lui. Ne fais pas appel à l'ego pour quoi que ce soit; c'est seulement cela que tu as besoin de faire. Le Saint-Esprit, de Lui-même, remplira tout esprit qui fait ainsi de la place pour Lui.

 

Si tu veux la paix, tu dois abandonner l'enseignant de l'attaque. L'Enseignant de la paix ne t'abandonnera jamais. Tu peux Le déserter mais Lui ne réciproquera jamais, car Sa foi en toi est Sa compréhension. Elle est aussi ferme que Sa foi en Son Créateur, et Il connaît que la foi en Son Créateur doit englober la foi en Sa création. Dans cette cohérence réside Sa Sainteté, qu'il ne peut pas abandonner, car ce n'est pas Sa Volonté de le faire. Ayant toujours en vue ta perfection, Il fait le don de la paix à quiconque perçoit le besoin de la paix, et voudrait l'avoir. Fais place à la paix et elle viendra. Car la compréhension est en toi, et d'elle doit venir la paix.

.../...

Source: Un Cours en miracles - Extraits du chapitre 14, section 11.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 20:00

Le cours, enseignement intemporel par définition, croise donc régulièrement l'actualité de façon éblouissante tant il est éclairant. Si la foi "bien" placée conduit aux miracles,  la foi (très) "mal" placée (du moins placée dans l'irréel) conduit aux abominations que l'on voit aux actualités. En effet, la foi placée en « rien » n'est pas sans pouvoir puisque nous croyons fermement en ce rien qu'est le monde de l'illusion, l'ego. Le fils de Dieu est si puissant qu'il semble rendre réel l'impossible.

Christalain

 

Pourquoi est-il si étrange pour toi que la foi puisse déplacer des montagnes ? Cela est certes un bien petit exploit pour un tel pouvoir. Car la foi peut garder le Fils de Dieu enchaîné aussi longtemps qu'il se croit attaché à des chaînes. Et quand il en est délivré, c'est tout simplement parce qu'il ne croit plus en elles, leur retirant la foi qui leur permettait de le retenir et la mettant plutôt dans sa liberté. Il est impossible de mettre une foi égale dans des directions opposées. La foi que tu mets dans le péché, tu l'enlèves à la sainteté. Et ce que tu offres à la sainteté a été enlevé au péché.

 

Foi, croyance et vision sont les moyens par lesquels le but de sainteté est atteint. C'est par elles que le Saint-Esprit te conduit au monde réel, loin de toutes les illusions dans lesquelles ta foi était placée. Telle est Sa direction, la seule qu'il voie jamais. Et quand tu t'égares, Il te rappelle qu'il n'y en a qu'une. Sa foi, Sa croyance et Sa vision sont toutes pour toi. Quand tu les auras complètement acceptées à la place des tiennes, tu n'auras plus besoin d'elles. Car la foi, la vision et la croyance ne sont signifiantes qu'avant que soit atteint l'état de certitude. Au Ciel elles sont inconnues. Or le Ciel s'atteint par elles.

 

Il est impossible que le Fils de Dieu manque de foi, mais il peut choisir où il la voudrait. L'absence de foi n'est pas un manque de foi mais une foi en rien. La foi donnée aux illusions ne manque pas de pouvoir, car par elle le Fils de Dieu croit qu'il est impuissant. Ainsi il n'a pas foi en lui-même, mais sa foi est grande dans ses illusions à propos de lui-même. Car la foi, la perception et la croyance, c'est toi qui les as faites, comme moyens de perdre la certitude et de trouver le péché. Cette folle direction était ton choix; et par la foi placée dans ce que tu as choisi, tu as fait ce que tu désirais.

 

Un Cours en Miracles – CH.21, section 3.

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31 mai 2015 7 31 /05 /mai /2015 09:19

Dans l'extrait suivant d'Un Cours en miracles, les rêves nocturnes sont mis en parallèle avec la vie diurne que nous croyons réelle. Or, il s'agit simplement de la même illusion sous une forme différente. Ainsi, tout comme les évènements de notre vie quotidienne, nos rêves nous apprendront sur nous même en fonction du regard que nous posons sur eux. Les rêves n'ont aucun sens par eux même, mais le St-Esprit peut nous enseigner à travers eux si tel est notre souhait, à des fins d'éveil de tous les rêves, ceux du jour et ceux de la nuit.

Christalain

 

N'est-ce pas que le monde qui surgit en rêve semble tout à fait réel? Or pense à ce qu'est ce monde. Il est clair que ce n'est pas le monde que tu voyais avant de dormir. Plutôt, c'est une distorsion du monde, uniquement planifiée selon ce que tu aurais préféré. Ici tu es « libre » de refaire ce qui semblait t'avoir attaqué, pour le changer en un hommage à ton ego, que l'« attaque » avait outragé. Ce n'est pas ce que tu souhaiterais si tu ne te voyais pas toi-même comme ne faisant qu'un avec l'ego, qui se considère toujours lui-même, et donc te considère, toi, comme la cible d'une attaque et très vulnérable à celle-ci.

 

Les rêves sont chaotiques parce qu'ils sont gouvernés par tes désirs conflictuels; par conséquent, ils ne se soucient pas de ce qui est vrai. Ils sont le meilleur exemple que tu puisses avoir de la façon dont la perception peut être utilisée pour substituer les illusions à la vérité. Tu ne les prends pas au sérieux en t'éveillant parce que le fait qu'ils violent la réalité si outrageusement devient apparent. Or ils sont une façon de regarder le monde et de le changer pour mieux convenir à l'ego. Ils fournissent des exemples frappants, à la fois de l'inaptitude de l'ego à tolérer la réalité et de ton désir de changer la réalité en sa faveur.

 

Tu ne trouves pas troublantes les différences entre ce que tu vois dans ton sommeil et à ton réveil. Tu reconnais que ce que tu vois au réveil est effacé en rêve. Pourtant, en t'éveillant, tu ne t'attends pas à ce que cela ait disparu. En rêve, tu arranges tout. Les gens deviennent tels que tu les voudrais, et ils font ce que tu ordonnes. Aucune limite aux substitutions ne t'est imposée. Pour un temps il semble que le monde t'ait été donné pour que tu en fasses ce que tu souhaites. Tu ne te rends pas compte que tu l'attaques, que tu essaies d'en triompher et de le mettre à ton service.

 

Les rêves sont des crises de colère perceptuelles, dans lesquelles tu hurles littéralement : «Je le veux ainsi!» Et ainsi il semble en être. Et pourtant le rêve ne peut pas échapper à son origine. La colère et la peur le pénètrent et en un instant l'illusion de satisfaction est envahie par l'illusion de terreur. Car le rêve de ton aptitude à contrôler la réalité en lui substituant un monde que tu préfères est terrifiant. Tes tentatives pour effacer la réalité sont très apeurantes, mais cela tu n'es pas prêt à l'accepter. Alors tu lui substitues le fantasme que c'est la réalité qui est apeurante, et non ce que tu voudrais lui faire. Et ainsi la culpabilité est rendue réelle.

 

Les rêves te montrent que tu as le pouvoir de faire un monde tel que tu le voudrais; et que parce que tu le veux, tu le vois. Et tant que tu le vois, tu ne doutes pas qu'il est réel. Or voici un monde, manifestement au-dedans de ton esprit, qui semble être à l'extérieur. Tu n'y réponds pas comme si c'était toi qui l'avais fait, et tu ne te rends pas compte non plus que les émotions que le rêve produit doivent venir de toi. Ce sont les figures dans le rêve et ce qu'elles font qui semblent faire le rêve. Tu ne te rends pas compte que tu les fais passer à l'acte pour toi, car si tu t'en rendais compte la culpabilité ne serait pas la leur et l'illusion de satisfaction disparaîtrait. En rêve, ces traits ne sont pas obscurs. Tu sembles te réveiller, et le rêve a disparu. Or ce que tu manques de reconnaître, c'est que ce qui a causé le rêve n'a pas disparu avec lui. Le souhait te reste de faire un autre monde qui n'est pas réel.

 

Et ce à quoi tu sembles t'éveiller n'est qu'une autre forme de ce même monde que tu vois en rêve. Tout ton temps se passe à rêver. Tes rêves endormis et tes rêves éveillés ont des formes différentes, mais c'est tout. Leur contenu est le même. Ce sont tes protestations contre la réalité et ton idée fixe et insane de pouvoir la changer. Dans tes rêves éveillés, la relation particulière occupe une place particulière. C'est le moyen par lequel tu essaies de réaliser les rêves que tu fais en dormant. De cela, tu ne t'éveilles p a s . La relation particulière, c'est la détermination avec laquelle tu gardes ta prise sur l'irréel tout en t'empêchant de t'éveiller. Et tant que tu verras plus de valeur dans le sommeil que dans l'éveil, tu n'en lâcheras pas prise.

 

Le Saint-Esprit, toujours pratique dans Sa sagesse, accepte tes rêves et les utilise comme moyen de t'éveiller. Tu les aurais utilisé, toi, pour rester endormi. J'ai dit plus tôt que le premier changement, avant que les rêves ne disparaissent, c'est que tes rêves de peur sont changés en rêves heureux. C'est ce que fait le Saint-Esprit dans la relation particulière. Il ne la détruit pas, Il ne te l'arrache pas. Mais Il l'utilise différemment, comme une aide pour rendre Son but réel pour toi. La relation particulière restera, non pas comme une source de douleur et de culpabilité mais comme une source de joie et de liberté. Elle ne sera pas pour toi seul, car en cela résidait sa misère. De même que sa non-sainteté la gardait à part, sa sainteté deviendra une offrande faite à chacun.

 

Un Cours en miracles- Extrait du ch.18, section II

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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 20:00

Dans ce monde tu peux devenir un miroir sans tache, dans lequel la Sainteté de ton Créateur irradie de toi vers tout ce qui t'entoure. Tu peux refléter le Ciel ici. Or nul reflet rendant l'image d'autres dieux ne doit ternir le miroir qui présenterait le reflet de Dieu. La terre peut refléter le Ciel ou l'enfer; Dieu ou l'ego. Tu as seulement besoin de laisser le miroir propre et pur de toutes les images de ténèbres cachées que tu y a tracées. Dieu y luira de Lui-même. Seul le clair reflet de Lui-même peut y être perçu.


Les reflets se voient dans la lumière. Dans les ténèbres ils sont obscurs, et leur signification semble résider uniquement dans des interprétations changeantes, plutôt qu'en eux-mêmes. Le reflet de Dieu n'a pas besoin d'interprétation. Il est clair. Lave seulement le miroir, et le message qui irradie de ce que le miroir présente à la vue de chacun, nul ne peut manquer de le comprendre. C'est le message que le Saint-Esprit présente au miroir qui est en lui. Il le reconnaît parce qu'on lui a enseigné son besoin de lui, bien qu'il ne sache pas où regarder pour le trouver. Laissele donc le voir en toi, et le partager avec toi.


Si tu pouvais seulement te rendre compte pour un seul instant du pouvoir de guérison que le reflet de Dieu, qui luit en toi, peut apporter au monde entier, tu ne pourrais pas attendre plus longtemps avant de laver le miroir de ton esprit pour qu'il reçoive l'image de la sainteté qui guérit le monde. L'image de sainteté qui luit dans ton esprit n'est pas obscure, et ne changera pas. Sa signification pour ceux qui la regardent n'est pas obscure, car tous la perçoivent comme étant la même. Tous portent leurs différents problèmes à sa lumière guérissante, et tous leurs problèmes ne trouvent là que guérison.


La réponse de la sainteté à toute forme d'erreur est toujours la même. Il n'y a pas de contradiction dans ce que la sainteté appelle. La guérison est sa seule réponse, peu importe ce qui lui est apporté. Ceux qui ont appris à n'offrir que la guérison, à cause du reflet de la sainteté en eux, sont enfin prêts pour le Ciel. Là, la sainteté n'est pas un reflet mais bien la condition réelle de ce qui ne leur était ici que reflété. Dieu n'est pas une image, et Ses créations, faisant partie de Lui, Le contiennent en elles en vérité. Elles ne font pas que refléter la vérité, car elles sont la vérité.

Un Cours en miracles - Ch.14, section 9

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2 février 2015 1 02 /02 /février /2015 10:30

ego.jpg

1. Tu ne te rends peut-être pas compte que l'ego a monté un plan pour le salut en opposition à celui de Dieu. 2 C'est en ce plan que tu crois. 3 Puisqu'il est l'opposé de celui de Dieu, tu crois aussi qu'accepter le plan de Dieu à la place de celui de l'ego, c'est être damné. 4 Cela semble grotesque, bien sûr. 5 Or après avoir considéré ce qu'est exactement le plan de l'ego, tu te rendras peut-être compte que, si grotesque qu'il puisse être, tu y crois vraiment.


2. Le plan de l'ego pour le salut est centré sur le fait d'avoir des rancoeurs. 2 Il maintient que si quelqu'un d'autre parlait ou agissait différemment, si quelque circonstance ou événement extérieur était changé, tu serais sauvé. 3 Ainsi la source du salut est constamment perçue comme étant à l'extérieur de toi. 4 Chaque rancoeur que tu as est une déclaration, une assertion en laquelle tu crois et qui dit : "Si cela était différent, je serais sauvé." 5 Le changement d'esprit nécessaire pour le salut est ainsi demandé de tous et de tout, sauf de toi.


3. Le rôle assigné à ton propre esprit dans ce plan est donc simplement de déterminer ce qui, autre que lui-même, doit changer afin que tu sois sauvé. 2 Selon ce plan insane, toute source de salut perçue est accceptable pourvu qu'elle ne marche pas. 3 Cela garantit que la quête stérile continuera, car l'illusion persiste que, même si cet espoir a toujours été déçu, il y a toujours lieu d'espérer en d'autres endroits et en d'autres choses. 4 Une autre personne fera mieux l'affaire encore; une autre situation promettra encore le succès.


4. Tel est le plan de l'ego pout ton salut. 2 Tu peux sûrement voir comme il s'accorde strictement avec la doctrine fondamentale de l'ego: "Cherche mais ne trouve pas." 3 Car quelle plus sûre ganrantie peut-il y avoir de ne pas trouver le salut que de canaliser tous tes efforts à le chercher où il n'est pas ?


5. Le plan de Dieu pour le salut marche simplement parce qu'en suivant Sa direction, tu cherches le salut où il est. 2 Mais pour que tu réussises, comme Dieu a promis que tu le feras, tu dois être désireux de ne chercher que là. 3 Autrement, ton but est divisé et tu tenteras de suivre deux plans pour le salut qui sont diamétralement opposés à tous égards. 4 Le résultat ne peut apporter que la confusion, la misère et un profond sentiment d'échec et de désespoir.

 

Un Cours en miracles - Extrait de la leçon 71: "Seul le plan de Dieu pour le Salut marchera"

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 11:05

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcS-FewhsO4ek48pk9_2e03fpff7IwRZOI-e-a1Dix904uKIJ_WeAUhGPEtnToute division dans l'esprit doit comporter le rejet d'une partie de lui, et c'est cela qui est la croyance en la séparation. L'Entièreté de Dieu, qui est Sa paix, ne peut être appréciée que par un esprit entier qui reconnaît l'Entièreté de la création de Dieu. Par cette re-connaissance, il connaît son Créateur. Exclusion et séparation sont synonymes, comme le sont séparation et dissociation. Nous avons dit plus tôt que la séparation était et est une dissociation, et qu'une fois qu'elle s'est produite la projection devient sa principale défense, ou le mécanisme qui la fait durer. Toutefois, la raison n'est peut-être pas aussi évidente que tu le penses.

 

Ce que tu projettes, tu le désavoues, et tu ne crois donc pas que ce soit à toi. Tu t'exclus toi-même par le jugement même que tu es différent de celui sur qui tu projettes. Puisque tu as aussi jugé et rejeté ce que tu projettes, tu continues à l'attaquer parce que tu continues à le garder séparé. En faisant cela inconsciemment, tu essaies de garder loin de ta conscience le fait que tu t'es attaqué toi-même, et tu t'imagines ainsi que tu t'es mis en sécurité. Or la projection te blessera toujours. Elle renforce ta croyance en ton propre esprit divisé, et son seul but est de faire durer la séparation. C'est uniquement un mécanisme de l'ego pour te faire sentir différent de tes frères et séparé d'eux.

 

L'ego le justifie en alléguant que cela te fait paraître «meilleur» qu'eux, ce qui obscurcit encore davantage ton égalité avec eux. La projection et l'attaque sont inévitablement reliées, parce que la projection est toujours un moyen de justifier l'attaque. La colère sans projection est impossible. L'ego n'utilise la projection que pour détruire ta perception à la fois de toi-même et de tes frères. Le processus commence par exclure quelque chose qui existe en toi mais que tu ne veux pas, et conduit directement à t'exclure to imême de tes frères.

 

Toutefois, nous avons appris qu'il y a une alternative à la projection. Chaque aptitude de l'ego a un meilleur usage, parce que ses aptitudes sont dirigées par l'esprit, qui a une meilleure Voix. Le Saint-Esprit étend et l'ego projette. Comme leurs buts sont opposés, ainsi le sont leurs résultats. Le Saint-Esprit commence par te percevoir comme étant parfait. Connaissant que cette perfection est partagée, Il la reconnaît en l'autre, la renforçant ainsi en vous deux. Au lieu de la colère, cela suscite l'amour pour les deux, parce que cela établit l'inclusion.

 

Percevant l'égalité, le Saint-Esprit perçoit des besoins égaux. Automatiquement, cela invite l'Expiation, parce que l'Expiation est le seul besoin dans ce monde qui soit universel. Te percevoir toi-même de cette façon, c'est la seule façon de trouver le bonheur dans le monde. C'est parce qu'ainsi tu reconnais que tu n'es pas dans ce monde, car le monde est malheureux.


Comment peux-tu trouver la joie dans un lieu sans joie, sauf en te rendant compte que tu n'es pas là ? Tu ne peux être nulle part où Dieu ne t'a pas mis, et Dieu t'a créé comme partie de Lui. Cela est à la fois où tu es et ce que tu es. C'est complètement inaltérable. C'est l'inclusion totale. Tu ne peux pas le changer ni maintenant ni jamais. C'est vrai à jamais. Ce n'est pas une croyance, mais un Fait.

 

UCEM – chapitre 6 section II

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 20:26

annecy.jpg

Toi que l'amour a créé pareil à soi-même, tu ne peux pas avoir de rancoeurs et connaître ton Soi. Avoir de la rancoeur, c'est oublier qui tu es. Avoir de la rancoeur, c'est te voir toi-même comme un corps.Avoir de la rancoeur, c'est laisser l'ego gouverner ton esprit et condamner le corps à la mort. Tu ne te rends peut-être pas encore pleinement compte de ce que cela fait à ton esprit d'avoir des rancoeurs. Cela semble te couper de ta Source et te rendre différent de Lui.  Cela te fait croire qu'Il est pareil à ce que tu penses être devenu, car nul ne peut concevoir son Créateur différent de soi-même.


Coupé de ton Soi, qui garde connaissance d'être pareil à Son Créateur, ton Soi semble dormir, tandis que la partie de ton esprit qui tisse des illusions dans son sommeil paraît être éveillée.  Tout cela peut-il venir d'avoir des rancoeurs ?  Oh oui ! Car celui qui a des rancoeurs nie qu'il a été créé par l'amour, et son Créateur est devenu apeurant pour lui dans son rêve de haine. Qui peut rêver de haine et ne pas craindre Dieu ?

 

Autant il est sûr que ceux qui ont des rancoeurs vont redéfinir Dieu à leur propre image, autant il est certain que Dieu les a créés pareils à Lui et les a définis comme faisant partie de Lui. Autant il est sûr que ceux qui ont des rancoeurs vont ressentir de la culpabilité, autant il est certain que ceux qui pardonnent trouveront la paix. Autant il est sûr que ceux qui ont des rancoeurs vont oublier qui ils sont, autant il est certain que ceux qui pardonnent s'en souviendront.

 

Ne serais-tu pas désireux de renoncer à tes rancoeurs, si tu croyais que tout cela était vrai ? Peut-être ne penses-tu pas pouvoir lâcher prise de tes rancoeurs. Cela, toutefois, n'est qu'une question de motivation. Aujourd'hui nous allons essayer de découvrir comment tu te sentirais sans elles. Si tu réussis ne serait-ce qu'un tout petit peu, tu n'auras plus jamais de problème de motivation.

 

Un Cours en miracles - Extrait de la leçon 68.

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 10:10

PRISME.jpgVoici une sélection de citations tirées des 30 premières leçons d'Un Cours en Miracles. Mises bout à bout, elles permettent de prendre du recul par rapport aux leçons étudiées au jour le jour, et donner un aperçu plus global de la trajectoire qu'il nous est proposée de suivre . Nous nous rendons compte, au fil du cursus, que nous sommes littéralement aveuglés par la perception. Ainsi, la première étape pour échapper au rêve du monde consiste à remettre an cause la réalité qui nous est montrée par nos sens, donc notre corps. La seconde étape esquissée dans ce résumé consiste à demander « activement » de "voir", en opposition à "percevoir".

Christalain



Tu ne vois que le passé. 2 Personne ne voit quoi que ce soit, en fait. 3 Chacun ne voit que ses pensées projetées à l'extérieur. 4 La préoccupation du passé qu'a l'esprit est la cause de la fausse conception du temps dont ta vue souffre. 5 Ton esprit ne peut pas saisir le présent, qui est le seul temps qui soit. 6 Par conséquent, il ne peut pas comprendre le temps, et ne peut, en fait, rien comprendre du tout. (leçon 8)

 

3. Regarde une tasse, par exemple. 2 Vois-tu une tasse, ou passes-tu simplement en revue tes expériences passées : prendre une tasse, avoir soif, boire dans une tasse, sentir le bord de la tasse contre tes lèvres, prendre ton petit-déjeuner, et ainsi de suite ? 3 Tes réactions esthétiques à la tasse ne sont-elles pas, elles aussi, basées sur des expériences passées ? 4 Autrement, comment saurais-tu si cette sorte de tasse va casser si tu la laisses tomber ? 5 Que sais-tu de cette tasse, excepté ce que tu as appris dans le passé ? 6 Tu n'aurais aucune idée de ce qu'est cette tasse, n'eût été de ton apprentissage passé. 7 La vois-tu, donc, réellement ? ( leçon 7)

 

« Mes pensées insignifiantes me montrent un monde insignifiant ». 1 Ceci est la première idée que nous ayons qui soit reliée à une phase majeure du processus de correction : le renversement de la pensée du monde. 2 Il semble que le monde détermine ce que tu perçois. 3 L'idée d'aujourd'hui introduit le concept que ce sont tes pensées qui déterminent le monde que tu vois. 4 Tu peux certes te réjouir d'appliquer l'idée sous sa forme initiale, car dans cette idée ta délivrance est rendue certaine. 5 La clé du pardon réside en elle. (leçon 11)

 

1. C'est parce que les pensées que tu penses penser t'apparaissent comme des images que tu ne les reconnais pas comme n'étant rien. 2 Tu penses que tu les penses; ainsi penses-tu que tu les vois. 3 C'est ainsi que ta "vue" a été faite. 4 C'est la fonction que tu as donnée aux yeux de ton corps. 5 Cela n'est pas voir. 6 C'est faire des images. 7 Cela prend la place de la vue en remplaçant la vision par des illusions. (leçon 15)

 

2. Cette idée, qui nous initie au processus qui consiste à faire des images, ce que tu appelles voir, n'aura pas beaucoup de signification pour toi. 2 Tu commenceras à la comprendre quand tu auras vu de petites franges de lumière autour des mêmes objets familiers que tu vois maintenant. 3 Cela est le début de la vision réelle. 4 Tu peux être certain que la vision réelle viendra rapidement une fois que cela s'est produit. (leçon 15)

 

« je ne vois pas de choses neutres » 1. Cette idée est une autre étape vers l'identification de cause et effet tels qu'ils opèrent réellement dans le monde. 2 Tu ne vois pas de choses neutres parce que tu n'as pas de pensées neutres. 3 C'est toujours la pensée qui vient en premier, malgré la tentation de croire que c'est l'inverse. 4 Ce n'est pas ainsi que le monde pense, mais tu dois apprendre que c'est ainsi que tu penses. 5 Sinon, la perception n'aurait pas de cause et serait elle-même la cause de la réalité. 6 Étant donné sa nature extrêmement variable, cela est peu probable. (leçon 17)

Les pensées qui engendrent ce que tu vois ne sont jamais neutres ni sans importance. (leçon 17)

 

3 Ce que tu fais est déterminé par ta perception de la situation, et cette perception est fausse. 4 Il est inévitable, donc, que tu ne serves pas ton propre intérêt. (leçon 25). 2. Tu perçois le monde et tout ce qui est en lui comme signifiant en fonction des buts de l'ego. 2 Ces buts n'ont rien à voir avec ton propre intérêt, parce que l'ego n'est pas toi. 3 Cette fausse identification te rend incapable de comprendre à quoi sert quoi que ce soit. 4 Avec pour résultat que tu en fais forcément mauvais usage. 5 Quand tu croiras cela, tu essaieras de retirer les buts que tu avais assignés au monde, au lieu de tenter de les renforcer. (leçon 25)

 

4 Chaque pensée que tu as forme un segment du monde que tu vois. 5 C'est avec tes pensées, donc, que nous devons travailler, si ta perception du monde doit être changée. (leçon 23). 2. Si les pensées d'attaque sont la cause du monde que tu vois, tu dois apprendre que ce sont ces pensées que tu ne veux pas. 2 Rien ne sert de se lamenter sur le monde. 3 Il est inutile d'essayer de changer le monde. 4 Il est incapable de changer parce qu'il est simplement un effet. 5 Mais il est certes utile de changer tes pensées au sujet du monde. 6 Là tu changes la cause. 7 L'effet changera automatiquement. (leçon 23)

 

Tu vois beaucoup de choses séparées autour de toi, ce qui signifie en fait que tu ne vois pas du tout. 6 Tu vois ou tu ne vois pas. 7 Quand tu auras vu une seule chose différemment, tu verras toutes choses différemment. 8 La lumière que tu verras en n'importe laquelle est la même lumière que tu verras en elles toutes. (leçon 28)


3. Ta décision de voir est tout ce que la vision requiert. 2 Ce que tu veux est à toi. 3 Ne fais pas l'erreur de croire que le peu d'effort qui t'est demandé est une indication du peu de valeur de notre but. 4 Le salut du monde peut-il être un but banal ? 5 Et le monde peut-il être sauvé si tu ne l'es pas .5 Ce que tu désires, tu le verras. 6 Telle est la réelle loi de cause et effet comme elle opère dans le monde. (leçon 20)

 

4. Tu vois le monde que tu as fait, mais tu ne TE vois pas toi-même comme le faiseur d'images. 2 Tu ne peux pas être sauvé du monde, mais tu peux échapper de sa cause. 3 Voilà ce que le salut signifie, car où est le monde que tu vois une fois sa cause disparue ? 4 La vision contient déjà le remplacement de tout ce que tu penses voir maintenant. 5 La beauté peut éclairer tes images et les transformer au point que tu les aimeras, même si c'est de haine qu'elles ont été faites. 6 Car tu ne les feras pas seul. (leçon 23)

 

Source: Un Cours en Miracles version "standard".

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16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 10:03

 

Les 6 étapes du développement de la confiance chez les enseignants avancés de Dieu : (Extrait du "Manuel pour enseignants" d'un "Cours en miracles"). Oui, la confiance est difficle a obtenir, et tellement facile à perdre !
 

La confiance est le fondement sur lequel repose l’aptitude des enseignants de Dieu à remplir leur fonction. La perception est le résultat de l'apprentissage. En fait, percevoir, c'est apprendre, parce que cause et effet ne sont jamais séparés. Les enseignants de Dieu ont confiance dans le monde, parce qu'ils ont appris qu'il n'est pas gouverné par les lois que le monde a inventées. Il est gouverné par un pouvoir qui est en eux mais non pas d'eux. C'est ce pouvoir qui garde toutes choses en sécurité. C'est par ce pouvoir que les enseignants de Dieu regardent un monde pardonné. Une fois qu'on a fait l'expérience de ce pouvoir, il est impossible de faire confiance à nouveau à sa propre petite force. Qui tenterait de voler avec les ailes minuscules d'un moineau quand la puissance considérable d'un aigle lui a été donnée? Et qui placerait sa foi dans les piètres offrandes de l'ego quand les dons de Dieu sont déposés devant lui? Qu'est-ce qui les induit à faire le changement?

 

 

1- La période de défaire :

 

D'abord ils doivent passer par ce qui pourrait être appelé « une période de défaire ». Cela n'a pas besoin d'être douloureux, mais d'ordinaire c'est ainsi que l'expérience est ressentie. C'est comme si des choses leur étaient enlevées, et il est rarement compris au début que c'est simplement leur manque de valeur qui est reconnu. Comment le manque de valeur peut-il être perçu à moins que celui qui perçoit ne soit dans une position où il doit voir les choses sous une lumière différente? Il n'en est pas encore au point où il peut faire le changement entièrement intérieurement. Ainsi le plan demande-t-il parfois des changements dans ce qui semble être des circonstances extérieures. Ces changements aident toujours. Quand l'enseignant de Dieu a appris cela, il passe au second stade.

 

2- La période de tri :

 

Ensuite, l'enseignant de Dieu doit passer par « une période de tri». Cela est toujours quelque peu difficile parce que, ayant appris que les changements dans sa vie aident toujours, il doit maintenant décider de toutes choses sur la base de la capacité d'aider, qu'elles vont soit augmenter ou entraver. Il verra que beaucoup, sinon la plupart des choses auxquelles il accordait de la valeur auparavant ne feront qu'entraver son aptitude à transférer ce qu'il a appris à de nouvelles situations au fur et à mesure qu'elles se présentent. Parce qu'il estimait ce qui est réellement sans valeur, il ne généralisera pas la leçon par peur de perdre et de sacrifier. Il faut avoir beaucoup appris pour comprendre que toutes choses, événements, rencontres et circonstances, sont des aides. C'est seulement dans la mesure où elles aident que quelque degré de réalité devrait leur être accordé dans ce monde d'illusions. Le mot «valeur» ne peut s'appliquer à rien d'autre.

  

3 – La période de renoncement :

 

Le troisième stade par lequel doit passer l'enseignant de Dieu peut être appelé «une période de renoncement». Si elle est interprétée comme un abandon du désirable, elle engendrera un énorme conflit. Peu d'enseignants de Dieu échappent entièrement à cette détresse. Rien ne sert, toutefois, de trier ce qui a de la valeur et ce qui est sans valeur à moins de passer à l'étape suivante, qui est évidente. Par conséquent, il est probable que durant cette période de chevauchement l'enseignant de Dieu se sentira appelé à sacrifier ses propres intérêts en faveur de la vérité. Il ne s'est pas encore rendu compte à quel point une telle demande serait entièrement impossible. En fait, il ne peut apprendre cela qu'en abandonnant le sans-valeur. Ce faisant, il apprend que là où il anticipait du chagrin, il trouve à la place un coeur léger et joyeux; là où il pensait que quelque chose lui était demandé, il trouve un don qui lui est accordé.

 

4- La période d’apaisement :

 

Vient maintenant «une période d'apaisement». C'est un temps tranquille durant lequel l'enseignant de Dieu se repose un moment dans une paix raisonnable. Maintenant il consolide son apprentissage. Maintenant il commence à voir la valeur de transfert de ce qu'il a appris. Son potentiel est littéralement stupéfiant et l'enseignant de Dieu en est à présent à un point dans son avancement où il y voit sa seule issue. « Abandonne ce que tu ne veux pas et garde ce que tu veux. » Comme l'évident est simple ! Et comme c'est facile à faire ! L'enseignant de Dieu a besoin de cette période de répit. Il n'est pas encore rendu aussi loin qu'il le pense. Or quand il est prêt à continuer son chemin, il va avec de puissants compagnons à ses côtés. Maintenant il se

repose un moment et les rassemble avant de continuer. Désormais, il n'ira plus seul.

 

5 – La période de perturbation :

 

Le stade suivant est certes «une période de perturbation». Maintenant l'enseignant de Dieu doit comprendre qu'il ne savait pas vraiment ce qui était de valeur et ce qui était sans valeur.

Tout ce qu'il a réellement appris jusqu'à présent, c'est qu'il ne voulait pas le sans-valeur et qu'il voulait ce qui a de la valeur. Or son propre tri a été in-signifiant pour ce qui est de lui enseigner la différence. L'idée de sacrifice, qui est si centrale dans son propre système de pensée, l'avait rendu incapable de juger. Il pensait avoir appris le désir mais il voit maintenant qu'il ne sait pas à quoi sert le désir. Et maintenant il doit atteindre un état auquel il lui sera peut-être impossible de parvenir pendant très, très longtemps. Il doit apprendre à mettre de côté tout jugement et à demander seulement ce qu'il veut réellement en toute circonstance. Si chaque pas dans cette direction n'était pas si puissamment renforcé, ce serait certes difficile !

 

6 – La période d’accomplissement :

 

Et finalement, il y a « une période d'accomplissement ». C'est ici que l'apprentissage est consolidé. Maintenant ce qui était vu comme à peine des ombres auparavant devient des gains solides, sur lesquels il est possible de compter dans tous les « cas d'urgence » aussi bien que dans les moments tranquilles. De fait, la tranquillité est leur résultat; la conséquence d'un apprentissage honnête, d'une pensée cohérente et d'un plein transfert. C'est le stade de la paix réelle, car ici l'état du Ciel est pleinement reflété. À partir d'ici, la voie vers le Ciel est ouverte et facile. En fait, elle est ici. Qui voudrait «aller» où que ce soit, quand la paix d'esprit est déjà complète? Et qui chercherait à échanger la tranquillité contre quelque chose de plus désirable ? Qu'est-ce qui pourrait être plus désirable que cela ?

 

Extrait du « Cours en miracles » - Manuel pour enseignant.

 

(les enseignants avancés de Dieu ont également d’autres caractéristiques qui découlent toute de la confiance : l’honnêteté, la tolérance, la douceur, la joie, la non défense, la générosité, la patience, la foi, et l’ouverture d’esprit – voir le manuel).

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