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  • : l'éveil spirituel sous l'angle non-duel d'un Cours en miracles. DATE DE CREATION: 01/01/07 ________________________ contact: christalain.1000@wanadoo.fr ________________________ Ecrivez-moi pour tout commentaire, suggestion, encouragement. merci.
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Un cours en miracles


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Christalain

 

"La connaisance qui illumine ne te rend pas seulement libre, elle te montre aussi clairement que tu es libre" . UCEM

 

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" Ne cherches pas à changer le monde, mais cherche à changer tes idées au sujet du monde" - Un Cours en miracles
 

 

Mise a jour le :


1er novembre 2016   

*  "Un Cours en miracles vu par S.Sobottka" 

 

10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 21:57

Une discussion sur le film “Inception”
avec David Hoffmeister et Jason Warwick – Août 2010

 

 

Jason : “L’inception” était la petite idée folle. La croyance qu’un autre monde que celui de Dieu doit être défait.
David : L’affiche du film “Inception” dit : “Le crime est dans l’esprit”.
Jason : Défaisons le crime.

Saito : Je sais ce que c’est. Cela appartenait à un homme qui possédait quelques notions radicales.
Cobb : Le parasite le plus persistant est une idée une fois qu’elle s’est ancrée dans le cerveau. Une idée complètement formée, qui colle. Vous devez être totalement ouvert à cela pour pouvoir travailler. Je peux fouiller votre esprit et trouver vos secrets. J’ai besoin de savoir ce qu’il y a dans votre esprit. Ceci est un rêve. Vous devez me laisser entrer complètement. [pas de pensées privées]
Cobb à son fils, James, au téléphone : Je ne peux pas revenir à la maison. Maman n’est plus là.
Cobb : Que voulez-vous de nous ?
Saito : Inception.
Cobb : Impossible. Le sujet peut retrouver l’origine de l’idée.
Jason : Cobb devient motivé pour aller profondément dans son propre esprit de par son désir de libération. Il est bloqué dans les souvenirs de sa femme. Il a besoin de l’aide d’Ariadne et d’une équipe pour aller dans son esprit, pour aller à la racine, et se libérer lui-même de ce qu’il croit être vrai. (comme l’Ultimatum Bourne). La libération vient lorsqu’il voit que tout était sa propre décision.
Saito [La Voix du Saint Esprit] : Mr. Cobb, comment voulez-vous retourner chez vous, en Amérique, vers vos enfants ? Voulez-vous faire le saut de la foi ? Ou devenir un vieil homme, rempli de regrets, attendant de mourir seul !
Un membre de l’équipe : Ce n’est pas faisable.
Cobb : Je l’ai déjà fait. [Il avait eu un aperçu] Nous devons aller à Paris chercher un nouvel architecte.
Cobb à Miles, son beau-père : J’ai besoin de ton aide. Je pense avoir trouvé une façon de rentrer à la maison. Tes petits enfants attendent leur père. J’offre à l’architecte une chance de construire de grandes choses.
Jason : Cobb est encore confus quant à ce qu’il veut ; il pense que c’est la manifestation. Alors l’Esprit lui envoie quelqu’un de plus brilliant qu’il n’est afin de déchiffrer son esprit.
Cobb : Mal ne me laissera pas le dessiner.
Miles : J’ai un architecte qui est meilleur que tu ne l’étais.
Cobb à Ariadne : Dans un rêve, tu peux faire presque tout, tu crées continuellement et perçois ton monde en même temps. Tu ne t’aperçois même pas que tu le fais. Cela nous permet d’aller au centre de ce processus.
Ariadne : Comment ?
Jason : Un Cours en Miracles nous dit que notre fabrication du monde n’est pas inconsciente. En une fraction de seconde, nous décidons, et puis nous oublions. Nous percevons ce que nous croyons.
Cobb : Tu crées le monde du rêve, tu apportes les sujets dans ce rêve, et ils le remplissent avec leur subconscient. Les gens sont des projections.
Ariadne : Comment pourrais-je jamais acquérir suffisamment de détails pour leur faire croire que c’est la réalité ?
Cobb : Bien, les rêves, ils semblent réels quand nous sommes dedans, d’accord ? C’est seulement lorsque nous nous réveillons que nous réalisons combien les choses sont en fait étranges. Laisse-moi te poser une question : toi, tu ne te rappelles jamais vraiment le début d’un rêve, n’est-ce-pas ? Tu t’arrêtes toujours en plein milieu de ce qui est en train de se passer.
Ariadne : Je suppose, oui.
Cobb : Alors comment avons-nous fini ici ?
Jason : Le film parle du fait de se souvenir du commencement.
Ariadne : Eh bien, nous sommes venus de …
Cobb : Réfléchis-y Ariadne, comment es-tu venue ici ? Où es-tu, là, maintenant ?
Ariadne : Nous rêvons ?
Cobb : Tu es en fait en plein milieu de l’atelier là, maintenant, endormie. Ceci est ta première leçon en matière de rêve partagé. Reste calme. [Explosions]
Cobb : Les rêves ont l’air réels quand on est dedans. C’est seulement lorsqu’on se réveille qu’on réalise qu’il y avait quelque chose de bizarre. Dans le rêve, ton esprit fonctionne plus vite.
David : Dans le film “Truman Show”, il trouve la fixation de la lampe qui tombe, il la branche sur leur station de radio. De la même façon, vous commencez à avoir de petits indices qui vous montrent que le rêve n’est pas la réalité.
Cobb : Les gens sont mes projections.
Ariadne : Donc il s’agit plus de ressentir que de visualiser. [Elle dédouble Paris] C’est quelque chose n’est-ce-pas ? Pourquoi est-ce-que tout le monde me regarde ?
Cobb : Parce que mon subconscient sent que quelqu’un d’autre est en train de créer ce monde. Plus tu changes de choses, plus vite les projections semblent converger vers toi.
Jason : Souvent l’ego résiste aux changements.
David : Si vous choisissez la paix d’esprit, vous voyez que vous n’avez aucun contrôle sur le monde. Vous ne pouvez plus vivre une “vie normale”. Vous pouvez avoir le rêve heureux. Mais si une partie de votre esprit doute encore que vous êtes le Christ, vos pensées de doute seront reflétées d’une manière ou d’une autre par un esprit puissant [projections qui convergent]. Continuez à pratiquer et vous verrez que ce ne sont que des pensées que vous regardez ; vous ne vivez pas vraiment à travers ça.
Cobb : Elles attaquent comme des globules blancs.
Ariadne : Tu dis à ton subconscient de rester calme ?
Cobb : Mon subconscient. Rappelle-toi que je ne peux pas le contrôler.
Cobb : Je connais ce pont ; cet endroit est réel. Construire un rêve à partir de tes souvenirs (le passé) est la meilleure façon de perdre ton repère quant à ce qui est un rêve ou la réalité.
Ariadne : C’est ce qui t’est arrivé ? [Elle commence à comprendre les règles qui régissent le rêve de Cobb]
David : Tout ceci est une tentative de construire un monde à partir du passé. L’esprit est accro au passé, effrayé par la Réalité Divine. Les gens que vous voyez tenir certains rôles font partie de votre addiction. (les attaques de Mal, la femme décédée de Cobb).
Ariadne : Réveille-moi ! Tu as un de ces subconscients ! Elle (Mal) est une vraie charmeuse.
Cobb: Il faut que tu aies un totem de manière à savoir que tu n’es pas dans le rêve de quelqu’un d’autre.
Ariadne : Cobb a de sérieux problèmes qu’il essaye d’enterrer là au fond.
David : Les relations interpersonnelles sont utilisées par le Saint-Esprit comme des leçons de pardon. Il fait tout le travail. Beaucoup de films impliquent des équipes de personnes. Vous joignez votre esprit au Saint-Esprit et Il envoie des témoins du nouveau But. Tout ce qu’on fait, c’est collectionner des témoins. Le Saint-Esprit est le monteur d’équipes de témoins dévoués au réveil. Vous pouvez avoir la paix et être un rêveur heureux. Il utilise Cobb et ses puissants compagnons (par exemple Eames le faussaire à Monbasa).
Eames : Si nous voulons faire une inception, alors nous devons avoir de l’imagination. Il faut commencer avec la base, la relation avec le père.
Arthur à Ariadne : Mal est morte.
Cobb à Yusuf : C’est possible. Nous avons besoin d’un sédatif puissant.
Saito : Je viens aussi.
Ariadne à Cobb : Tu vas descendre par toi-même ?
Cobb : Je faisais juste quelques expérimentations. L’idée du totem était celle de Mal. Ne me dit pas les détails de ton architecture.
Ariadne : Pourquoi ?
Cobb : Au cas où l’un d’entre nous rentrerait dans nos projections.
Ariadne : Tu veux dire que Mal pourrait rentrer dans nos projections ? Tu ne peux pas la laisser à l’extérieur n’est-ce-pas ?
Cobb : Il faut que je rentre à la maison. C’est tout ce qui m’importe pour l’instant.
Jason: Ca peut devenir très intense.
Yusuf : Le cerveau fonctionne environ 20 fois plus dans le rêve. Le temps change aussi. L’esprit s’adapte à chaque niveau inférieur qu’il atteint.
Niveau -1 : une semaine
Niveau -2 : un mois
Niveau -3 : dix ans
Ariadne : Qui voudrait rester 10 ans dans un rêve ?
Cobb : Ca dépend du rêve.
David : Le rêve est complexe. Vous devez devenir de plus en plus fin dans votre discernement entre l’ego et l’esprit, parce que l’ego surgit avec toutes sortes de distractions intelligentes qui semblent être extérieures, mais elles viennent vraiment de votre désir d’être encore séparé. Par exemple, Sandy avait reçu la guidance d’appeler Ben avec « Border Crossing 101 », mais il a dû raccrocher et a été renvoyé. Le “coup de pied” vous fait sortir du rêve.
David : Le coup de pied du Saint-Esprit c’est la conscience du fait de rêver ; de rêver avec lucidité. C’est aussi simple. C’est la fonction des enseignants de Dieu ; c’est ça l’invulnérabilité. Vous réalisez que vous êtes le rêveur du rêve.
[En rêve] :
Mal : Tu te rappelles lorsque tu m’as demandée en mariage ?
Cobb : Bien sûr.
Cobb à Ariadne : Tu ne devrais pas être ici. [David : Ma relation particulière ! Elle est bonne au lit.]
Ariadne : Est-ce-que ce sont là les expérimentations que tu fais chaque nuit ? Tu essayes de la garder vivante, n’est-ce-pas ? Tu ne peux pas juste créer une prison faite de souvenirs. Tu penses vraiment que ça pourrait la contenir ?
Cobb : Tu n’étais pas supposée voir ça ! Ca ne te regarde pas ! [Ma relation particulière]
Ariadne : Ca ne me regarde pas ? Nous sommes supposés partager des rêves ici !
Cobb : Pas ceux-là. Ceux-là sont les miens. [privés]
Ariadne : Pourquoi te fais-tu ça à toi-même ?
Cobb : C’est la seule façon pour moi de rester dans le rêve. [il admet son addiction]

David : Lorsque l’amour est associé à un foyer et à la famille, cela semble être un énorme sacrifice de les laisser-aller. La famille est tellement associée à l’amour. Pourtant Jésus et Pierre avaient des familles. La famille est une construction de l’ego ; dans la religion des Mormons, elle est tout. En réalité, chaque personne que vous rencontrez fait partie de la famille de Dieu, sans exception. Tout est votre esprit. Apprendre à aimer chacun, inconditionnellement, c’est apprendre à s’aimer soi-même. Exclure qui que ce soit est du jugement, comme s’il n’était pas vous ; vous ne voyez que le passé. Ils sont vous.

 

Ariadne : Pourquoi est-ce-que c’est si important de rêver ?
Cobb : Parce que, dans mes rêves, nous sommes ensemble.
Ariadne : Ce ne sont que des rêves, ce sont des souvenirs, et tu as dit de ne jamais utiliser les souvenirs !
Cobb : Je sais que j’ai dit ça. Mais ceux-là sont des souvenirs que je regrette, que je dois changer.
David : Cobb est en train d’essayer de changer le passé. Est-ce-que ce n’est pas ce qu’est la manifestation ? Vous croyez que vous pouvez fabriquer un rêve meilleur, que vous pouvez changer le script. Vous ne pouvez pas changer le script. Vous pouvez seulement changer votre esprit au sujet du script. Ne vous culpabilisez pas d’avoir raté une guidance.
Ariadne à Cobb : C’est ta maison ?
Cobb : L’instant est passé. Quoi que je fasse, je ne peux pas changer cet instant. Je suis sur le point de les appeler [ses enfants]. Ils disparaissent. Si je veux revoir leurs visages à nouveau, je dois rentrer à la maison, dans le vrai monde.
Ariadne : Crois-tu vraiment que tu peux simplement construire une prison de souvenirs pour enfermer Mal dedans ? Quand étais-tu à Limbo ? Le reste de l’équipe ne connait pas la vérité. A chaque minute tu pourrais faire passer un train de marchandises à travers le mur. A tout moment Mal pourrait surgir dans ton inconscient.
David : Ceci est la valeur de la collaboration, si tout n’est qu’un seul esprit, basé sur le But, échangeant les pensées et pratiquant le pardon, alors vous ne prenez pas le rêve au sérieux. Si vous vivez encore avec un partenaire qui dénigre tout cela, cela signifie que vous voulez vous accrochez à cette pensée de doute. Laissez-aller ce conjoint et les enfants. Ceci est la valeur d’une communauté spirituelle. La joie que vous percevez au monastère est le résultat de notre fusion dans le but du pardon. Si vous pensez qu’il y a quelque chose à l’extérieur de vous qui peut vous affecter, vous penserez que vous êtes torturé ; vous souffrirez. Lorsque vous réalisez que ce sont vos propres pensées, cela fait toute la différence dans le monde. Lorsque vous réalisez cela, le monde entier s’illumine. Cobb est encore très attaché à sa Mal et à ses enfants ; il veut changer le rêve pour atteindre son but, pour trouver l’amour qu’il veut.

Jason : Une partenaire effrayée ne vous retient pas ; elle ne fait que mettre en scène votre propre peur d’aller vers la lumière.
Cobb : Nous travaillions ensemble. Je ne comprenais tout simplement pas comment nous avions pu nous faire piéger et perdre de vue ce qui était réel. Nous avons créé un monde pour nous-mêmes, bâti une maison.
Ariadne : Combien de temps avez-vous été coincés là-bas ?
Cobb : A peu près 50 ans. Ce n’était pas si mal au début. Mais à la fin, c’est devenu impossible de vivre comme ça.
Ariadne à Cobb : Et elle ?
Cobb : Elle avait enfermé une vérité qu’elle avait connue jadis mais avait choisi d’oublier. Limbo devint sa réalité.
Ariadne : Qu’est ce qui s’est passé quand vous vous êtes réveillés ?
Cobb : Nous étions devenus de vieilles âmes. Je savais que quelque chose n’allait pas chez elle. Elle était possédée par cette seule idée qui a tout changé : que notre monde n’était pas réel. Elle avait besoin de se réveiller et elle pensait qu’afin de rentrer à la maison, nous devions nous tuer.
Jason : Elle est si confuse, elle est convaincue que mourir est nécessaire ; elle ne le laissera pas avoir une vie heureuse ; il doit venir avec elle.
Ariadne : Et vos enfants ?
Cobb : Elle pensait qu’ils n’étaient que des projections, pas nos vrais enfants. Elle était certaine qu’il n’y avait rien que je puisse faire ; elle fabriqua un plan. A la fin, elle me dit la vérité, qu’elle était possédée par une idée, une idée très simple, que notre monde n’était pas réel et qu’afin de retourner dans la réalité, nous allions devoir nous tuer.
David : Il est courant de penser, bien, au moins la mort vous apporte la paix. Quelle idée bizarre, que mourir par suicide est nécessaire pour se réveiller. Ca ne peut venir que du fait de penser sans le Saint-Esprit.
Mal : Je vais sauter et tu viens avec moi.
Cobb : Attends, tu vas mourir. Pense à nos enfants.
Mal : Fais le saut de la foi. J’ai donné une lettre à un avocat disant que tu menaçais de me tuer. Nous rentrons à la maison. Tu attends un train, un train qui va t’emmener loin. Tu sais où tu espères que ce train va t’emmener, mais tu ne peux pas en être sûr. Mais ce n’est pas important, parce que vous serez ensemble. [elle saute]
Cobb : Oh non ! Jésus Christ ! J’ai essayé d’acheter mon retour.
Ariadne : Ta culpabilité définit Mal. Elle est rendue puissante par ta culpabilité. Tu n’es pas responsable de l’idée qui l’a détruite. Si nous réussissons notre mission, tu vas devoir te pardonner toi-même et l’affronter. Mais tu n’as pas à le faire tout seul.
Jason : Maintenant ils vont aller profondément dans l’esprit.
David : Vous vous joignez dans le But avec l’Esprit. Vos plans ont échoué. Vous remettez tout au Saint-Esprit, pour voir l’inexistence de l’erreur. C’est la seule façon de sortir du rêve. Je laisserai le Saint-Esprit choisir les témoins. Ce ne sera pas le plan de l’ego. Vous ferez ça ; vous ferez face à votre culpabilité. Ce ne sera pas joli. Vous devez contacter la culpabilité inconsciente et la libérer. L’ego veut mourir. Le Saint-Esprit a un autre plan que l’ego n’aime pas.
Jason : Ils se joignent pour entrer dans l’esprit. Ils vont après l’erreur « Je suis responsable des enfants qui meurent de faim ». La perception d’enfants mourant de faim est l’erreur. Je ne suis pas responsable de la pensée d’ego. Là est la liberté.
Ariadne à Cobb : Vous avez construit tout ça ?
Cobb : Oui. C’est là qu’elle sera.
David : C’est symbolique du fait d’avoir Jésus dans votre esprit : vous allez faire face à certaines de ces associations dans votre esprit. Le monde que vous percevez est un rêve. Le monde n’est pas prêt à entendre ceci. Kirsten et moi continuâmes de retourner dans sa famille en Nouvelle Zélande comme un entraînement de l’esprit, pour défaire les associations. Sa mère s’est jointe à ça. Pas son père, ils ont semblé se séparer. La valeur donnée à la famille continua de se défaire. Kirsten m’a presque laissé tomber pour Wanaka en Nouvelle-Zélande, son Shangri-la.
Ariadne à Cobb : Vous avez construit tout ça de mémoire ?
Cobb : C’était notre voisinage, des lieux de notre passé. Dans ce rêve nous pouvions avoir tout ce que nous voulions. Une idée est comme un virus, contagieuse ; elle peut grandir pour vous définir ou vous détruire.
Mal : Une idée telle que “ton monde n’est pas réel”. Penses-tu qu’il est certain de son monde ?
Cobb : Je sais ce qui est réel, Mal.
Mal : Aucun doute ? Admets-le. Tu ne crois plus à une réalité. Alors choisis-moi.
Jason : C’est effectivement ce que votre partenaire dit. Pas de paradis pour toi ; reste ici.
Cobb : Je dois rentrer pour voir nos enfants. Tu nous as abandonnés.
Mal : Tu te trompes. Ils sont ici. Ceux-là sont nos enfants.
Cobb : Ceux-là ne sont pas mes enfants.
Mal : Et si j’étais ce qui est réel ? Qu’est-ce-que tu en sais en fait ? Qu’est-ce-que tu ressens ?
Cobb : De la culpabilité. C’est toujours là à me rappeler la vérité.
Mal : Quelle vérité ?
Cobb : Que l’idée qui t’a poussée à remettre en question ta réalité venait de moi. [Sa pensée racine de culpabilité]
Jason : Helena est venue au Canada et m’a accompagné la dernière fois que je suis allé voir ma famille. Nous avions un lien en tant que compagnons et j’ai donc pu m’observer et dire “non” à d’anciens types de relation. C’était bon pour moi.
Mal : Tu as implanté l’idée dans mon esprit ?
Ariadne : De quoi elle parle ?
Cobb : La raison pour laquelle je savais que l’inception était possible était que je l’avais pratiquée sur elle. Elle avait enfermé un secret, profondément en elle, quelque chose qu’elle savait jadis être vrai … mais qu’elle avait décidé d’oublier. Elle ne pouvait se libérer. Alors je suis entré dans son esprit et ai implanté une idée qui changerait tout. [que ce monde est réel ; que je peux fabriquer une identité à part de Dieu]. Que son monde n’était pas réel.
Mal : Tu m’as trahie. Nous pouvons rester ici dans le monde que nous avons construit ensemble.
Cobb : Nous devons aller chercher Fisher.
Jason : Maintenant il doit étendre sa pensée pour la garder. Un de ces amis s’est perdu dans le monde du rêve. Maintenant il doit enseigner à son ami. Il doit étendre sa pensée pour la garder. Il doit libérer son frère.
David : Il a implanté l’idée. C’est symbolique du fait de créer une minuscule identité limitée à part de Dieu. L’esprit retient cette idée, et donc le Saint-Esprit implante l’idée que vous êtes innocent, libre de vos fausses identités et faux souvenirs. Le Saint-Esprit sème la graine (l’inception) de la vérité du salut dans votre esprit. Vous devez la donner afin de la garder, avec chaque personne que vous rencontrez, gratuitement, sans exceptions. L’idée devient plus forte à chaque fois.
Cobb : Prends Fisher. Je dois trouver Saito. Je ne peux plus rester avec elle parce qu’elle n’existe pas.
Mal à Cobb : Ton monde n’est pas réel ! Je suis la seule chose en laquelle tu crois encore.
Cobb : Je l’espère. Je l’espère plus que tout. Mais je ne peux pas t’imaginer avec toute ta complexité, toute ta perfection, toute ton imperfection. Regarde-toi. Tu n’es qu’une ombre de ma vraie femme. Tu es le mieux que je puisse faire ; mais je suis désolé, tu n’es tout simplement pas assez bien.
David : Personne dans ce monde n’est complet. Ils sont tous des fragments de mémoire. Vous ne pouvez jamais voir la totalité dans les parties. Le Tout est réel ; les parties ne le sont pas. « Tu es juste une ombre de ma vraie femme » = du Christ. Votre partenaire n’est pas réel. Ca veut dire que vous n’êtes pas réel non plus.
Ariadne : Ne te perds pas toi-même.
Cobb : Je ne me perdrai pas.
Mal : Tu te rappelles quand tu m’as demandé de t’épouser ? Tu as dit que tu avais rêvé qu’on vieillirait ensemble.
Cobb : Et c’est ce qui s’est passé… Tu ne te rappelles pas ? Tu me manques plus que je ne peux le supporter mais… on a eu notre temps ensemble. Et maintenant je dois lâcher prise.

David : Ca me rappelle cette ligne dans Solaris : “Bien que les amoureux seront perdus, l’amour ne le sera pas. Et la mort n’aura aucune puissance.” Je dois lâcher prise de l’image, du concept de toi afin que je puisse connaître la réalité de toi et de moi. Nous existons en tant qu’Esprit, pas en tant que corps.
Saito : J’attends quelqu’un. Je suis un vieil homme rempli de regrets, attendant la mort.

Jason : Tous deux en viennent à la réalisation qu’ils ne sont pas des corps.

Cobb à Saito : Je suis revenu pour toi. Je suis venu ici pour te dire… quelque chose [Pause] Quelque chose que… tu savais jadis être vrai. Que ce monde n’est pas réel. Fais le saut de la foi. Reviens pour qu’on puisse être à nouveau de jeunes hommes.
Saito : [il se souvient] Impossible...
L’hôtesse : Avez-vous besoin de formulaires d’immigration ?
David : Reviens et rappelle-toi que le monde n’est pas réel. Le but n’est pas Dieu. Le but est d’être conscient qu’on rêve. C’est ce qu’est le pardon. C’est lorsque le rêve devient heureux. Le rêve heureux est ce qu’il y a de mieux. Ensuite on se réveille à la réalité. Ce monde a été fait par l’ego. L’ego a des buts futurs. Vous n’êtes jamais satisfaits. Ils vous font rater la paix présente.
L’inception du Saint-Esprit a dû prendre la forme d’un but afin d’être compris. Le but d’être le rêveur du rêve est un but présent. La paix de Dieu est mon seul but pendant que j’habite là où ce n’est pas ma maison. Le but est la paix présente. Maintenant.
A l’aéroport : Bienvenue à la maison Mr. Cobb [Acclamations]
Miles : Regardez qui est là ! [Rires des enfants de Cobb]
David : Le rêve heureux est encore un rêve. Vous êtes juste conscients que vous rêvez. Rien ne peut vous blesser. Ne prenez pas une idée folle sérieusement ; c’est ce qu’est l’erreur. Dans le film “Simone” : “On est ok avec ce qui est faux, papa. Mais, simplement, ne mens pas là-dessus. » Le Saint-Esprit et Jésus vous dit : On est ok avec ce qui est faux (le rêve heureux), simplement, ne vous bernez pas vous-mêmes en croyant que c’est vrai. C’est à ce moment-là que vous pouvez être en paix. Vous serez la présence de l’Amour. Au milieu d’une cérémonie funéraire, vous savez que c’est faux ; vous êtes là pour laisser la lumière et l’Amour rayonner, au vu et à la face de la douleur. Vous savez que la situation est fausse ; il n’y a pas de douleur. Jésus est venu à ceux qui pleuraient Lazare et espéraient pour l’avenir. Il a dit : « Je suis la vie. Lazare, viens.” C’était pour montrer que qui nous sommes est éternel. Vous ne pouvez pas mourir ! Comment vivriez-vous à partir de maintenant si vous saviez que vous ne pouvez pas mourir ? Vous n’auriez plus peur de vieillir et de mourir. A quoi passeriez-vous votre temps ? Ne voudriez-vous pas le crier du sommet des montagnes ? Rayonnez le message que nous sommes éternels. Est-ce-que ce n’est pas plus amusant que de faire semblant d’être un être humain ? Le monde se terminera par des rires. La fin du monde est une chose magnifique. Ca ne sert plus à rien de lutter ou de s’évertuer à quoi que ce soit.

 

Source :  http://awakening-mind.org/

 

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