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  • : l'éveil spirituel sous l'angle non-duel d'un Cours en miracles. DATE DE CREATION: 01/01/07 ________________________ contact: christalain.1000@wanadoo.fr ________________________ Ecrivez-moi pour tout commentaire, suggestion, encouragement. merci.
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Un cours en miracles


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A bientot !  
Christalain

 

"La connaisance qui illumine ne te rend pas seulement libre, elle te montre aussi clairement que tu es libre" . UCEM

 

Bienvenue sur Axialmedia, blog dédié à l'éveil  dans l'esprit non-duel d'Un Cours en miracle: radicale et sans concessions.  Pour tout commentaire général, toute question particulière, ou toute suggestion, toute critique ou tout encouragement, n'hésitez pas à m'écrire.   christalain.1000@orange.fr
     
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" Ne cherches pas à changer le monde, mais cherche à changer tes idées au sujet du monde" - Un Cours en miracles
 

 

Mise a jour le :


1er novembre 2016   

*  "Un Cours en miracles vu par S.Sobottka" 

 

16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 10:01

La suite du résumé de Mickael Dawson sur le Cours en miracle

Rien de réel ne peut  être menacé     

Rien d’irréel n’existe      

En cela réside la paix de Dieu  


(Texte UCEM , Intro)

 

 «Un Cours en Miracles» nous demande d’affronter notre sagesse conventionnelle à propos de qui nous croyons être et ce qu’est vraiment le monde. Jusqu’à ce que nous le fassions, nous errons endormis et la souffrance sera notre constant compagnon. L’énoncé plus haut cite : «Rien d’irréel n’existe» signifiant que si quelque chose n’est pas éternel (c.à.d. jamais né) sa nature est celle d’un rêve. Dans le Livre d’Exercices Jésus déclare, «Il n’y a pas de monde. Voilà la pensée centrale que le Cours tente d’enseigner.» Livre d’Exercices  p1.132.6:2-3. Si c’est la «pensée centrale» alors nous avons besoin d’y faire très attention.


Alors, qu’est-ce qui existe? Un homme qui marche au crépuscule se trompe en prenant une corde enroulée pour un serpent empoisonné et devient terrifié. Il voit ce qui semble un vrai problème qui nécessite une solution d’urgence et il n’entendra rien d’autre. Il est possible que beaucoup de persuasion soit nécessaire à quelqu'un qui sait la vérité qu’il n’y a rien à craindre dans cette situation. Le «serpent» est une projection de l’esprit de l’homme et n’a aucune existence inhérente. Certaines écoles Bouddhistes diraient qu’il est vide et «n’existe pas de son propre côté» et que tout ce nous percevons ou pensons est soit vide ou nul, sans aucune réalité ou existence inhérente.


Je crois que le Cours est d’accord avec ceci, faisant référence à l'ego comme étant un rêve qui disparaîtra dans le néant quand nous le choisirons, tout comme la noirceur s’efface (et non se cache) quand apparaît la lumière. Pendant que nous nous identifions avec l'ego, nous lui donnons de la réalité et par le fait même nous insistons à exister comme individu pour maintenir l’illusion d’individualité, nous avons besoin de nous défendre contre la vérité en nous concentrant sur l’irréel – un monde vide de toute existence inséparable.


Alors qui suis-je ? Ce tronc avec quatre membres et une tête ? Est-ce que je me sens diminué quand je me coupe les ongles et me fait tailler les cheveux ? Ou lorsque je perds un membre? Non – la pensée « Je » demeure.  Que penser des pensées et des émotions qu’elles génèrent ? Nous pouvons les regarder venir et partir, nous pouvons reculer et observer leur présence ou leur absence, elles ne sont donc pas ce que nous sommes. Sommes-nous une collection des parties de nos corps, pensées et émotions ? Encore non, car si nous ne pouvons pas être trouvés dans les parties nous ne pouvons donc pas plus exister dans la collection.


Les pensées dont je suis conscient ne signifient rien parce que je suis en train d’essayer de penser sans Dieu. Ce que je nomme «mes pensées» ne sont pas mes vraies pensées. Mes vraies pensées sont celles que je pense avec Dieu. Je n’en suis pas conscient parce que j’ai fabriqué mes pensées pour les remplacer. Leçon 51.


Le concept d’un soi individuel est fait par l’esprit – ce n’est seulement qu’une autre pensée vue comme étant importante. Notre corps, esprit et sentiments sont seulement comme le câble enroulé et n’ont aucune existence reliée. Nous leur avons seulement donné un sens ou une étiquette comme étant «moi ». Les premières leçons du Livre d’Exercices insistent sur ce point. «Rien dans cette pièce ne signifie quoi que ce soit». A la revue de cette leçon, (voir la leçon 51) on dit : « La raison pour laquelle il en est ainsi, c’est que je ne vois rien et rien n’a pas de signification. Il est nécessaire que je reconnaisse cela pour apprendre à voir. ». À la leçon 7 Jésus se sert de l’exemple d’une tasse en disant, « Que sais-tu de cette tasse, excepté ce que tu en as appris dans le passé ?  Tu n’aurais aucune idée de ce qu’est cette tasse, n’eut été de ton apprentissage passé». Cela est une autre façon de dire que nous étiquetons tout ce que nous percevons et lui donnons un sens qu’il ne possède pas de lui-même ni en lui-même.


Ce que Dieu n’a pas créé n’existe pas. Et tout ce qui existe existe tel qu’Il l’a créé. Le monde que tu vois n’a rien à faire avec la réalité. C’est toi qui l’a fait et il n’existe pas. Leçon 14.


 Lorsque la première lettre de l’alphabet a été écrite sur le tableau, à notre première classe de lecture lorsque nous étions enfants, nous n’avons pas vu un « A » Nous avons peut-être vu une tente ou une montagne. Nous avons dû nous faire apprendre à le cataloguer comme un « A » et c’est ce que nous voyons maintenant. Mais ce n’est pas un « A » de lui-même et en lui-même mais bien une série de traits. Même le mot «trait» est une étiquette.


Imaginez-vous pour un moment qu’à travers le pardon à soi nous laissions aller notre identité personnelle comme homme, femme, parent, enfant, travailleur, etc. Qui reste pour vouloir un gain, des louanges et une bonne réputation ? Nous pourrons alors connaître la paix de  Dieu et finalement nous rappeler qui nous sommes – non pas comme individu mais comme Christ  - le seul  esprit éternel sans forme que Dieu a créé dans son Esprit.


Michael Dawson - traduit par Stella Pilon

A suivre:  L'approche AAA du pardon

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